Je ne connais pas (pas encore) Trignac, aussi j’aurai du mal à répondre précisément.
Néanmoins, quelques éléments de réponse :
1- nos bateaux sont petits, donc s’efforcer à faire de petits parcours à proximité de la berge, quitte à faire 3 tours au lieu de 2 ; objectif durée de la manche 10-15 minutes.
2- en fonction des possibilités du club, envisager une plateforme avancée et légèrement surélevée, dédiée aux personnes à mobilité réduite.
3- pour les personnes ayant une mauvaise vue (d’abord consulter un ophtalmologue
) et lorsque la zone de contrôle est à peine plus élevée que le niveau d’eau (énorme problème de parallaxe) , privilégier des zones de contrôle plus au moins allongées.
4- pour les sourds oh moyennement sourds : des schémas d’actions avec l’aide de bénévoles ou de juges ont été développés avec succès ; une identification spécifique dans les voiles est à l’étude.
Mais quoi qu’il arrive, c’est toujours une histoire de compromis. La solution parfaite n’existe pas.
C’est en étant tous sensibles aux problèmes rencontrés, et en agissant, que ensemble nous ferons évoluer positivement la situation. (Au lieu que chacun aille harceler le comité de course, toujours désigner un représentant des coureurs qui s’en chargera)
Enfin, il faut garder à l’esprit que lorsque une zone de course est régulièrement conflictuelle, cela vient généralement du fait qu’il y a un souci dont les skippers ne sont pas responsables. (Ce n’est pas une raison pour foncer dans le tas, hein !)